Bzzz. Bzzz.
prendre l’abeille par les cornes
des aiguilles de pin qui se consument
comme un écran de fumée
se disperser,
encore
solliciter
la porte à
l’émiettement
éparpillé sur le rebord de la fenêtre
du grain à moudre
rien : en clair
OUBLIER
LE BORD DE LA ROUTE
suicidaire. Au bout
abandonne
prendre rôle
du camouflage
vertical jusqu’au nez
bruit de fond
toujours
rien…
justement
là
Clin d'oeil aux [Poèmnibus] de Christine Jeanney et aux Poèmes Express de Lucien Suel